L'anniversaire d'un soumis

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il y a 9 ans

David se dépêchait de finir les courses au supermarché. Il suivait la liste confiée par sa très Vénérée Maîtresse le matin avant qu’il emmène les e n f a n t s à l’école. C’était le jour de son anniversaire et il soupçonnait sa Maîtresse de lui avoir préparé une surprise car elle lui avait demandé de poser un congé pour ce jour précisément.

Mais le matin avait commencé comme tous les autres matins. Il avait été déçu qu’elle ne lui souhaite pas un joyeux anniversaire. Au contraire, elle semblait s’être levée dans un de ses mauvais jours et n’avait pas arrêté de le houspiller dès son réveil. Rien ne trouvait grâce à ses yeux. Les gamins aussi en prenaient pour leur grade. Et elle les avait tous jetés dehors à l’heure de l’école en lui ordonnant d’aller faire les courses inscrites sur la liste.

Une fois les e n f a n t s laissés en classe, il regarda la liste. Il y avait de la daurade à acheter chez le poissonnier, des fruits et légumes au Marché Provençal sur la place, une commande à récupérer chez le pâtissier ainsi que quelques items à aller chercher au supermarché. Tout cela allait lui prendre une heure.

Quand il se gara sur la place en centre-ville, son téléphone avait reçu un SMS de ma Maîtresse qui lui ordonnait de rentrer à la maison pour 10h précise. Humm ça allait commencer à s’animer. La pâtissière lui avait remis ce qui semblait être un gâteau dans sa boite. Elle semblait avoir penser à son petit soumis. Il avait alors profité de son passage en centre-ville pour aller lui acheter un magnifique bouquet de fleurs de saison, quoiqu’il n’ait rien à se reprocher mais cela devrait la mettre comme à chaque fois de bonne humeur.

Les courses à faire au supermarché étaient peu importantes. Il y avait une paire de gants en latex, du gel intime et une énigmatique boite de pâté pour chien avec la précision suivante : à choisir dans la marque distributeur. C’était bizarre car ils n’avaient pas de chien.

Sur le chemin de retour, il sentit la présence de sa cage de chasteté. Cela faisait maintenant 2 semaines qu’il n’avait pas éjaculé et comme à chaque fois l’envie de jouir était à son maximum. Il espérait qu’il aurait droit à une libération pour son anniversaire, mais se gardait bien d’avoir un trop espoir car sa Maîtresse était comme à son habitude souveraine et imprévisible sur cet aspect de sa soumission.

Au bout de quelques minutes, il arriva devant la maison. Il était 10H. La voiture de sa Maîtresse n’était plus là. Elle avait dû aller faire une course rapide pour s’en débarrasser pendant son absence. Il descendit les courses et alla vers la porte d’entrée de la maison, tout en cherchant les clés dans son pantalon. Mince elles n’y étaient pas ; pourtant il se rappelait fort bien qu’il les avait remises au fond de la poche avant de se coucher. Bizarre. Elles avaient dû tomber au moment où il s’était habillé.

Tout en réfléchissant à la chose, il était arrivé devant la porte. Une enveloppe était scotchée dessus. Il n’y avait pas de nom. Il l’ouvrit. C’était l’écriture de sa Maîtresse.

Ne cherche pas tes clés. Je te les ai prises ce matin.

Tu laisses les courses dans ta voiture que tu fermes à clé.

Tu vas à la porte de la cuisine. Arrivé là, tu te mets complétement nu.

Mets tous tes vêtements dans la cantine que tu trouveras avec les clés de ta voiture.

Ferme le cadenas de la caisse

Et tu 3attends mon retour à 4 pattes

PS : s’il pleut tu as le droit de te réfugier dans la cabane des e n f a n t s.

Ta très Vénérée Maîtresse

La lettre le prend un peu dépourvu et éveille son pauvre zizi dans sa cage. Il remet les courses dans la voiture et se dirige vers la porte de derrière. Elle se situe au fond d’une courte discrète qui rend les choses qui s’y déroulent aussi très discrètes. Parfois aux beaux jours, sa Maîtresse aime l’y attacher au grand air pour le fouetter. Mais là c’est encore l’hiver et le ciel est sombre et menaçant. A côté de la porte de la cuisine, il trouve une caisse métallique rouge comme annoncé avec un gros cadenas encore ouvert accroché à l’anse du couvercle.

David respire un bon coup. Il commence à sentir une veule excitation au niveau de son entrejambe. Il trouve à chaque fois si troublant le moment où il cesse d’être le mari et devient sa chose. Il hésite un moment à basculer dans l’autre monde, celui de la soumission. Puis il finit à se décider craignant d’être pris en faute. Il commence à enlever ses vêtements. Il ne fait manifestement pas chaud mais cela reste tenable. Le sol est mouillé de la pluie de la nuit. Ce n’est pas agréable. Il finit par tomber une de ces culottes mauves ou roses que lui fait porter sa Maîtresse. Il frisonne maintenant un peu mais range machinalement ses vêtements et autres effets personnels dans la caisse avant de la verrouiller. David finit de basculer dans le monde dans la soumission quand il s’installe à 4 pattes devant la porte.

Il est nu et seul, donc vulnérable. Il se met aux aguets. Quelques cris d’oiseaux. Un chasseur au loin. La cour l’abrite heureusement du vent. Il guette les quelques voitures qui passent devant la maison de l’autre côté. Il espère à chaque fois que c’est la bonne et qu’elle va ralentir. En vain. Il attend depuis un quart d’heure peut être quand une voiture finit pas ralentir. Elle ? Oui car il reconnait le bruit des roues sur le gravier de la maison. Il a tellement envie de lui faire la fête. Sa Maîtresse doit être rentrée dans la maison maintenant depuis quelques minutes. Mais la porte ne s’ouvre toujours pas. Il croit sentir un regard jeté depuis une fenêtre mais il n’en est pas sûr. Il entend le coffre de sa voiture claquer. Elle vient sans doute de récupérer les courses avec le double de la clé.

La porte s’ouvre enfin et sa très Vénérée Maîtresse Deuxièmement en majesté. Elle est magnifique, si classe et si sexuellement attrayante. Il voudrait lui faire la fête. Mais un ordre arrive aussitôt :

Assis le toutou !

Il se met immédiatement au garrot comme elle lui a appris. Elle sort et passe derrière lui. Bientôt il sent le cuir du collier de dressage se refermer autour de son cou. Elle lui demande de tendre son cul pour l’équiper de sa queue de toutou soumis. Sa Maîtresse finit sa préparation en lui fixant une laisse.

Voilà une bonne chose de faite mon toutou soumis. Lèche mes bottes! Il s’exécute. Elle a raccourcit la distance de la laisse et il sent la tension sur le collier. Pendant ce temps, elle continue :

Aujourd’hui tu es un toutou, MON toutou

Les règles sont simples même pour un toutou stupide comme toi

Sauf ordre contraire,

  • tu marches à 4 pattes

  • tu ne parles pas. Tu te contenteras de bouger la tête pour répondre à mes questions

  • tu feras tes besoins en laisse dans la cour quand je l’aurais décidé

  • quand tu n’auras plus rien à faire tu iras attendre couché sous la table de la salle à manger que je m’occupe de toi

Ah j’oubliais joyeux anniversaire mon petit soumis !

Pour tes 40 ans, tu auras droit à 40 coups de paddle pour t’échauffer, suivis de 40 coups de cravaches

Allez ouste dans la Maison

Aussitôt il rentre par la porte. Enfin un peu de chaleur. Sa Maîtresse l’arrête à la laisse, arrivé au milieu de la cuisine.

Stop ! Fais le beau !

David se dresse sur ses genoux. Elle prend sur la table le collier de dressage pour chien de chasse. Mais elle le trouve trop bas pour fixer l’appareil. Elle le met debout et fixe le boitier sur ses couilles. Il la regarde faire en s’interrogeant sur le comment elle va l’utiliser. Leur expérience avec cet accessoire est très limitée mais aujourd’hui elle a manifestement l’envie de le découvrir avec son toutou, qu’il y consente ou non.

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Une fois qu’elle a terminé, elle lui ordonne de se remettre immédiatement à 4 pattes et trouvant sans doute qu’il va trop lentement, elle appuie avec un soupir sur le bouton de la télécommande. David ne l’a pas vu venir mais il l’a senti. Il ne comprend pas ce qu’il a mal fait, mais se dépêche de se mettre à 4 pattes, le dos le plus bas possible, tête baissée, en position soumise.

Elle lui annonce le jeu. Elle l’enferme dans l’arrière cuisine pendant qu’elle va dissimuler 10 pinces à linge sur le sol dans la maison. Il doit les trouver en les cherchant à 4 pattes. Les règles sont simples. Il ramène chaque pince à linge une par une en le prenant avec la bouche. L’usage des mains est interdit. Elle utilise sa télécommande : un coup, il accoure au pied de sa Maîtresse, jusqu’à qu’elle l’autorise à reprendre sa recherche.

Au début, la coordination entre le toutou et sa dresseuse est maladroite. Il a déjà ramené 3 pinces à linge sans qu’elle ait utilisé la zapette de zizi. Mais lors de la recherche suivante, il sent un premier pincement dans ses couilles. Il revient aussi vite qu’il peut au pied de sa Maîtresse avant qu’elle le libère. La cinquième pince est accompagnée d’un autre coup. Peu à peu, le toutou et la Maîtresse s’amusent de la situation et David est de plus souvent interrompu dans ses recherches. Elle adore le voir accourir à ses pieds, d’autant qu’il lui laisse un baiser sur les chaussures à chaque passage.

Il a trouvé la 10ème pince et la ramène vers elle. Il la trouve adossée contre la console de la cuisine. Il voit sur son visage que l’excitation est montée. Elle remonte doucement sa jupe dévoilant l’absence de culotte. Il comprend ce qu’elle attend de son chien et enfouit rapidement son visage entre ses cuisses. Elle apprécie visiblement. L’antre est mouillé évidemment. Il frotte son visage et elle aime particulièrement le contact des poils de la barbe, pendant que sa langue lèche tout ce qui passe à sa portée. Elle soupire d’aise... Mais au bout de quelques minutes, le rejette sans en finir.

Non pas encore tout de suite et puis j’ai un besoin immédiat. Allez hop dans la salle en haut, j’ai besoin des services de mon toutou.

Et c’est pour un genre de service qu’elle a l’habitude de l’utiliser. Il monte les escaliers à 4 pattes la Maîtresse sur ses talons et trouve la box qui est un wc chimique modifié à sa place. Sans un mot, il y glisse sa tête qu’elle bloque immédiatement. Manifestement elle est pressée.

L’attente est courte et le couperet tombe vite. Il reçoit une douche de liquide chaud qu'il n'arrive que très partiellement à saisir au vol. Sa Maîtresse qui a fini contemple un instant avec amusement son contenu. Dans un geste de tendresse, essuie même un coin de joue avant de ressaisir.

Ce n’est pas un bon toutou soumis cela car il n’a pas tout avalé. Et Maîtresse n’est pas contente que son nectar doré ne soit complètement dégusté. Alors toutou va se dépêcher de réparer tout cela. Après il ira dans la chambre tout préparer pour son cadeau d’anniversaire.

Et sur ce, elle referme le couvercle au-dessus de la boîte le laissant dans mon univers sensoriel d’humiliation totale. Il se morfond un peu dans cette atmosphère avant d’obéir. Réparé ses dégâts n’est pas chose facile, mais à f o r c e de léchages à 4 pattes, il finit par réussir à nettoyer l’intégralité de la boite, avant de se laver. Il prépare ensuite la chambre pour son supplice.

Sa Maîtresse l’a rejoint. Elle lui ordonne de monter à 4 pattes sur le lit. Elle s’installe sur un tabouret derrière mon arrière-train et consciencieusement lui éclate tous les boutons de la peau. David déteste cela mais doit s’y plier. Elle vient d’enlever la queue factice qui la gêne et lui prend les couilles en main pour les presser. Il grimace. Elle jubile. Elle finit par se lasser : c’est l’heure !

David est maintenant attaché sur le ventre aux quatre coins du lit. Elle lui a mis des oreillers pour faire saillir ses fesses.

Les 40 coups de paddle ne sont qu’une formalité vite infligée. Ils sont administrés en une série continue sans lui laisser le temps de respirer. Elle lui dit que cela sert à réveiller la peau et qu’elle sera plus sensible à la suite. Néanmoins, à la fin son cul se tortille en tous sens ce qui ne cesse jamais de l’amuser et de la ravir.

La Maîtresse vient de changer d’instrument. Il aperçoit un instant la cravache de cuir qu’elle a choisie pour ses 40 ans. Sans attendre la badine fend l’air en un sifflement menaçant avant de s’abattre avec f o r c e sur son postérieur. La puissance de la cinglée le surprend et David ne peut réprimer un cri rauque. Il ne s’attendait pas à un tel déchainement de V i o l ence. Le feulement n’arrête pas la Maîtresse qui sans attendre lui assène une nouvelle volée de cuir, prolongeant sa plainte. L’énergie de la frappe se dissipe dans tous ses membres qui s’agitent désordonnés. 2 traits rouges intenses barrent maintenant ses fesses. Elle a fait une pause sans doute pour contempler le résultat. David cherche à reprendre son souffle, il ne tiendra pas à ce rythme.

Elle le prévient qu’elle reprend, ce qui le met dans un état de crainte. Heureusement les coups suivants sont moins forts. Elle a commencé à lui quadriller méthodiquement le cul. Chaque coup tombant à quelques centimètres du coup précédent, lentement et inexorablement. David n’arrive pas à s’empêcher de rythmer par ses cris, le marquage. Mais cela ne la dérange pas, car elle aime entendre crier son esclave sous son joug. Parfois la zone d’impact croise les 2 sillons initiaux et là David ne peut s’empêcher de geindre de plus belle, comme un chienne blessée.

Ses fesses sont devenues brulantes et déjà la douleur se réveille aux endroits où est passé le battoir. La série est devenue douloureuse, il vient de passer les 30ème trait et ne voit pas comment il pourra tenir jusqu’à la fin. Chaque jet de la badine devient inacceptable, surtout que la Maîtresse s’est mis en tête de viser le sillon dans l’entrefesse. Il hurle à chaque impact. Il demande pitié, mais elle l’ignore restant consacrée sur son œuvre. Il a atteint le 39ème coup plus m o r t que vif, pressé d’en finir. Mais elle s’est arrêtée depuis un long moment.

Le sifflement du 40ème coup hurle à ses oreilles avant de se s’éclater en une douleur infinie à l’impact, se prolonger dans tous les nerfs et ressortir de sa bouche en un long cri inhumain. David est sonné.

Il attend car sa Maîtresse a toujours l’habitude d’être de mauvaise foi sur les comptes. Mais elle a reposé son arme.

Ne bouge pas, je reviens de suite…

Comme s’il pouvait bouger ainsi immobilisé sur le lit. Elle s’éclipse de la chambre et reviens quelque temps plus tard, pour poser un paquet cadeau noir brillant.

Joyeux anniversaire, mon soumis !

Il regarde le paquet intrigué et heureux qu’elle ait pensé à lui.

Tu ne l’ouvres pas ?

Comment pourrait-il l’ouvrir avec les mains attachées ?

Bon alors je me dévoue. Je vais l’ouvrir pour toi.

Elle défait précautionneusement le paquet en prenant soin de replier l’emballage, dévoilant une boite noire énigmatique. Le couvercle est enlevé et relevant la tête aussi haute que ses liens le permettent, il voit qu’un papier de soie protège son contenu. La Maîtresse déplie le papier, mais il n’arrive pas à voir ce qu’il y a au fond. Elle le sait, alors elle prend un plaisir sadique à le faire patienter. Puis peu à peu, il la voit sortir une espèce de corde tressée en ce qui semble du cuir. Noire et rouge. Il n’arrive pas à déterminer ce que cela peut être, alors que l’objet s’élève peu à peu. A la fin, la corde devient plus épaisse sans doute pour tenir en main. Et là David comprend : un fouet !

Elle a posé en évidence le serpent de cuir devant lui, comme pour lui laisser le temps de l’apprivoiser, quand elle lui demande innocemment :

Tu n’essayes pas ton cadeau ? …… Ah j’oubliais, tu ne peux pas. .. je vais me dévouer.

Elle se saisit du fouet qui disparait de la vue de David. Il sent bientôt le souffle de l’instrument entre ses jambes, mais sans rien ressentir. Elle s’entraîne.

Prêt ? Soumis.

Il fait oui de la tête, surtout pour ne pas la décevoir. Et le coup qui suit est l’expérience la plus terrible qu’il n’ait jamais connu. C’est au-delà de la douleur. Il crie, il hurle, il demande bientôt pitié. Il ne veut pas subir cela.

Cesse immédiatement tes jérémiades ! Tu es décidemment bien douillet. Il n’est pas poli de ne pas utiliser les cadeaux que l’on reçoit. Je veux pouvoir travailler sans que tu m’interrompes tout le temps.

Sur ce, la Maîtresse ouvre le tiroir de la commode et revient avec le bâillon. A sa vue, David comprend ce qu’elle a en tête et se met à trembler de tout son corps sans pouvoir empêcher d’être rapidement réduit au silence. Elle reprend le fouet mais le repose immédiatement pour immobiliser la taille de David étroitement contre le lit par une nouvelle corde.

Maintenant que cela va être plus calme, reprenons là où nous étions arrêtés …

A partir de ce moment, David n’existe plus. Il devient une cible réactive pour tester le nouveau jouet de sa Maîtresse. Elle frappe, vient voir l’effet, essaye de nouveau. Rigole parfois. Est plus sérieuse à d’autres moments. Elle prend manifestement grand plaisir à tester le fouet. Elle semble être devenue la seule personne humaine de la pièce. David est au-delà de la simple souffrance. Chaque coup lui transperce l’intégralité du corps. Il ne comprend pas. Il est devenu un animal apeuré qu’une chasseresse poursuit dans tous les réduits. Il est déboussolé. Alors il n’a pas d’autre refuge que de se mettre à pleurer à grosses larmes pendant que sa Maîtresse s’excite sur son cul.

Le calvaire atteint sa fin. Elle a reposé le fouet. Il ne sent plus son cul tellement il est saturé de douleur. Elle semble plus douce maintenant mais a nettement une lueur d’excitation dans ses yeux, qu’il faut qu’elle assouvisse au plus vite. Elle lui libère les mains et enlève le bâillon, pour qu’il s’occupe en bon toutou lécheur de sa chatte en détresse. David est tellement soulagé que cela soit enfin finit, trouve des f o r c e s en lui pour lui donner ce qu’elle exige. Et puis les mains douces de sa Maîtresse sur sa tête pendant qu’il s’active sont tellement apaisantes. Il déconnecte la douleur du bas pour se concentrer sur le plaisir montant de sa Maîtresse.

A la fin, elle se relève et quitte le lit, non sans avoir gratifié son petit toutou lécheur d’une caresse sur la tête. Elle jette un coup d’œil au postérieur de la pauvre chose ficelée sur le lit pendant quelques secondes avant de se diriger vers la salle de bain. David se demande si elle a eu un moment de pitié ou contemplait son œuvre. Bientôt il entend la douche. Au bout de quelques minutes, sa Maîtresse sort et s’habille dans la chambre. Elle apparait devant ses yeux. Il ne peut s’empêcher de l’admirer, malgré ce qu’elle vient de lui faire. Elle le détache.

Allez viens ici, j’ai un rendez-vous à l’extérieur.

Elle l’emmène sur le palier où bientôt David est attaché par son collier à une chaine prise dans le radiateur. Elle referme le cadenas avant de s’éloigner. Il entend bientôt la voiture démarrer.

David rentre à la maison debout. Il porte toujours son collier et ses bracelets, mais au moins il n’est plus obligé de marcher à 4 pattes. Elle lui demande de préparer une daurade en paillote, tâche auquel il s’attelle après avoir passé un tablier. Il met 2 couverts sur la table et commencer à préparer l’accompagnement du poisson. Elle est partie vérifier ses mails sur l’ordinateur. Il profite du répit.

Elle est revenue dans la cuisine et tandis qu’il est afféré devant les fourneaux, elle lui demande tout à coup d’ouvrir la bouche. Ce qu’il fait mais aussitôt un bâillon vient le rendre à l’impuissance.

Voilà ce qui est mieux. Et qu’est-ce que c’est ce deuxième couvert sur la table. Je n’attends pas d’invité. Dépêche-toi de me ranger tout cela…

Il pense avoir droit à ses restes, comme elle le fait parfois. Le repas est parfaitement engagé. Elle semble contente de la cuisson de la daurade. Il coupe le pain, remplie son verre, débarrasse au fur et à mesure. Et mets dans le lave-vaisselle. Il devient le parfait valet de bouche. Au moment du dessert, elle l’envoie l’attendre assis au pied du canapé, toujours muselé.

Elle arrive bientôt avec une seule assiette de framboisier, son gâteau préféré qu’elle pose sur la table basse. Elle lui demande de se coucher par terre. Elle attache ensemble les bracelets des poignets dans son dos ainsi que les chevilles.

Attend je reviens vite.

Elle s’éclipse pour revenir en lui demandant de se soulever un peu et bientôt une corde vient lui lier étroitement les cuisses. David a devant ses yeux la table basse avec son gâteau d’anniversaire. Par gourmandise, elle prend un peu de crème avant de la porter avec délectation à ses lèvres. Puis elle fait une chose inattendue en plantant une de leurs bougies SM au centre du gâteau, pour la retirer immédiatement. Il sent qu’elle lui écarte les fesses pour la planter dans son anus. Elle gratte enfin une allumette qui disparait immédiatement de sa vue.

Joyeux anniversaire David ! Dommage que tu ne puisses pas souffler ta bougie !

La télévision est allumée pour regarder le zapping pendant qu’elle déguste le gâteau. David se représente comment il peut être ridicule avec une bougie dans le cul, mais il comprend vie le côté machiavélique de l’invention de sa Maîtresse quand la cire chaude commence à couler le long de la bougie pour venir brutalement refroidir dans son sillon fessier, créant une sensation brulante à chaque goutte. Il ne veut pas de cette t o r t u r e , alors il essaye de contorsionner quelque peu pour que la cire ne l’atteigne pas à cet endroit. Mais elle s’en aperçoit et lui intime l’ordre de pas bouger et pour le dissuader met ses pieds sur sa taille. La cire est terrible alors qu’elle prend son temps à déguster la pâtisserie.

Quand elle a fini, elle repose son assiette et vient voir de plus près la sculpture de cire sur ses fesses. La forme ne lui plait pas trop. Elle a toujours été perfectionniste en termes de BDSM. Alors elle reprend la bougie, pour la finir à la main. Mauvais moment à passer pour David.

Une fois la bougie éteinte, elle profite de la cire pour épiler une partie des poils de son cul en tirant d’un coup sec sur la gangue de cire solidifiée. Et manifestement l’exercice l’amuse ; David moins. Puis il doit l’accompagner à la cuisine de nouveau à 4 pattes. Il la voit sortir la gamelle d’inox destiné qu’il utilise dans leurs jeux, avant d’ouvrir la boîte de pâté pour chien achetée par David ce matin et la pose sur le sol devant lui.

Allez mon toutou à table ! Regarde ce que Maîtresse a préparé pour toi !

Il n’en revient pas qu’elle ait osé. Elle lui avait dit que jamais elle le traiterait comme cela. Mais aujourd’hui est un jour spécial avec ple3in de nouveauté. Alors qu’il montre peu d’enclin à se précipiter sur sa gamelle, elle le tire par le collier pour lui f o r c e r à mettre la tête au-dessus. L’odeur est tout sauf appétissante. Il ne résout pas à manger cette mixture. Mais bientôt elle saisit une spatule en bois pour commencer à lui taper les fesses. Cela réveille la douleur du matin. Alors il cède à la volonté de sa Maîtresse et prend une première bouchée. Le goût est à la hauteur de l’odeur vraiment pas agréable. Un autre coup : il comprend qu’il doit avaler, ce qu’il fait avec répugnance. Ses premières bouchées sont rythmées par la spatule qui frappe quand elle trouve qu’il met peu d’entrain. Puis satisfait pas l’allure, et sans doute parce que David, s’est résigné, elle le laisse continuer tout seul.

Quand mon toutou aura fini et que la gamelle sera bien récurée, toutou ira m’attendre sous la table du salon.

Il arrive peu à peu à avaler sa gamelle de pâté et à la nettoyer aussi que lui permet sa langue. Puis il va l’attendre sous la table du salon. Au loin il entend la télé que sa Maîtresse doit regarder pour se détendre.

Elle est revenue et l’a appelé. Elle lui remet sa queue dans le cul et lui intime l’ordre de la suivre à l’étage. Arrivée en haut, elle fait semblant de se rappeler soudain qu’il doit avoir soif après son repas. Elle lui dit d’aller boire le verre laissé dans la salle de bain. Il y découvre un grand verre de son nectar doré, encore tiède qu’il boit avec vénération et plaisir tant elle a raison : il avait soif. Elle le regarde avec satisfaction puis lui intime l’ordre d’attendre à 4 pattes sur le palier devant la chambre. Elle y rentre et referme la porte…

Quelques minutes plus tard, la porte se rouvre. Elle s’est changée pour une tenue beaucoup plus intime. Elle porte son bustier noir assorti de jambières. Et aux yeux de David est en magnifique presque en majesté. Ce n’est qu’un instant plus tard qu’il voir qu’elle a mis le gode ceinture. Elle l’invite à entrer dans la chambre puis les arrête.

Fais le beau mon toutou et ouvre la gueule.

Elle lui prend la tête entre ses mains et tout doucement lui présente la gueule devant le gode noir dressé. Puis peu à peu, elle s’enfonce dedans contrôlant la pénétration. Et calmement mais avec détermination, elle lui prend la bouche faisant aller et ressortir le phallus factice, toujours en le contrôlant la tête avec ses mains. Elle lui enfonce parfois jusqu’à il touche les fausses couilles du gode. Il se laisse aller à retirer du plaisir de cette prise de possession.

Bon ça suffit, j’ai envie de sauter ma petite chienne. Allez hop sur le lit.

Il se met à 4 pattes. Mais elle le remet sur le dos, car elle veut le voir pendant qu’elle le prendra. Au passage elle lui enlève la queue des fesses. Un oreiller sous les fesses, elle lui bascule les jambes sur les épaules. Une noisette de lubrifiant sur son trou et bientôt elle fait pression sur l’entrée de l’anneau. Il n’a que le temps de voir la lueur de vile excitation dans ses yeux qu’elle l’embroche d’un coup jusqu’à faire taper les couilles sur ses fesses. Puis se retire complétement avant de lé-enfourner dans la foulée. Elle le baise fortement et puissamment, donnant des coups de reins, à fond. D’intolérables les coups de buttoirs sont devenus agréables puis extrêmement excitants. Elle le baise tout en le regardant les yeux dans les yeux. Et il adore cela. Sa propre queue occupe tout l’espace de la cage, mais il s’en fout tellement il adore ce qui se passe dans ses fesses.

Cela dure jusqu’à que sa Maîtresse se fatigue et reste immobile bien fichée en lui. Elle se retire doucement et lui présente le gode à nettoyer ce qu’il fait sans rechigner.

J’ai envie d’une queue, mais pas la tienne je ne veux pas. J’ai prévu autre chose pour toi, mais va me chercher l’autre porte gode.

Elle lui a fixé au-dessus de la cage le gode ceinture équipé du plus gros membre factice qu’ils possèdent. Elle le met en position sur le lit avant de monter à cheval au-dessus de son corps. Elle se contorsionne pour avaler peu à peu le gros phallus, puis commence à monter et descendre en cadence. Elle gémit de plaisir tout en lui disant :

Comment veux-tu que je prenne du plaisir avec ta queue ridicule. Ça c’est une vraie queue d’homme. Il va falloir que je te trouve un remplaçant pour me satisfaire. En attendant, bouge-toi un peu pour aider ta Maîtresse, je commence à fatiguer.

David commence à jouer des reins pour participer au mouvement et bientôt il fait tout le travail. La jouissance de sa Maîtresse monte. Elle l’encourage. Il augmente la cadence jusqu’elle obtienne un long orgasme qui part dans un long gémissement.

Elle le remercie avant de se désengager pour rouler sur le côté. Bientôt elle dort d’un sommeil bienheureux et lui aussi finit pas s’endormir face à toutes les émotions de la journée.

Ils se réveillent vers 4 heures. Elle ne lui dit rien quand elle le trouve sur le lit, mais il comprend qu’il doit reprendre sa place au pied du lit. Après s’être quelque rafraichie, la Maîtresse revient avec le tabouret de la salle de bain et la paire de gants achetée ce matin. Elle s’est rhabillée.

Elle demande de garder la bouche grande ouverte pendant qu’elle remplit une seringue à partir d’un petit bocal. Puis elle déverse le contenu lentement dans la bouche. Il sent immédiatement le goût du sperme, certainement le sien dont elle a congelé chaque récolte depuis un an. Elle lui intime l’ordre de refermer la bouche mais lui interdit d’avaler. Puis elle le fait se retourner avant de lui ficher un doigt dedans.

Bon pour ton quarantième anniversaire, tu resteras chaste 40 jours dans ta cage. Mais aujourd’hui tu as le droit d’être trait avec ton sperme en bouche ! Profites-en !

C’est long. Ses doigts lui travaillent longuement le rectum pour trouver la prostate. Il déteste être trait mais à ce jeu elle finit toujours par gagner et lui presser désagréablement la glande. Bientôt il sent que sa bite est mouillée, qu’elle fuit tout ce liquide séminal qu’il ne pourra pas éjaculer. Le goût du sperme en bouche ajoute à son humiliation. Quand plus rien ne coule, elle arrête, retire ses doigts qu’elle lui fait lécher un par un. Elle regarde sa montre, et sans un mot lui remet la laisse.

Il est conduit à la cuisine. Elle lui enlève ses bracelets, détache son collier et d’un coup de pied magistral, elle l’expulse dehors.

Voilà c’est fini. Tu as été le bon toutou à ta Maîtresse aujourd’hui. Tu n’oublieras pas de nettoyer tes cochonneries dans la cour et tu iras faire les courses au supermarché. Je t’ai mis une liste dans la voiture.

Elle lui jette la clé de la malle rouge sur le sol et referme la porte à clé derrière lui.

FIN

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